... sur mon mini-bassin.
Après avoir failli le transformer en bac à fleurs
à cause d'une fuite intempestive que j'ai fini par colmater,
j'ai protégé bois et métal avec un vernis très résistant ...
... et j'ai agrémenté l'ensemble avec du petit lierre
et des fleurs de nénuphars factices,
la faible profondeur d'eau ne permettant pas
l'utilisation de véritables plantes aquatiques.
J'ai trouvé cette imitation assez réussie,
sans savoir ce que cela donnera dans la durée.
En cette saison, les rayons obliques du soleil (quand il y en a),
ne permettent pas à l'impressionnant jet d'eau d'être très gaillard,
et cela n'ira pas en s'arrangeant dans les prochains mois,
en attendant des jours meilleurs.
Dans le genre "je t'aime, moi non plus".
Début Août, je vous ai montré l'état lamentable de mes pétunias
qui avaient décidé d'abréger très tôt leur saison, cette année.
Je les ai coupés au ras, et j'ai mis les suspensions dans un coin ombragé
en attendant l'occasion de les vider. Je ne m'en suis plus soucié jusqu'à
ce que je me rende compte que les plants s'étaient ressemés en nombre
malgré la sécheresse.
Sans même les éclaircir, j'ai recommencé à les arroser,
et j'ai placé les suspensions au soleil pour obtenir de nouveau des fleurs.
Evidemment, cela n'a rien à voir avec ce qu'étaient ces corbeilles
au printemps, mais c'est pour moi une surprise alors
que nous commençons à subir les premières gelées blanches
qui si elles persistent, vont rapidement mettre un terme définitif
à cette floraison tardive non prévue.
Il n'empêche que quand ça veut pousser, ça pousse !
Il y a juste un an, je vous présentais mon asparagus (variété plumosus),
que j'avais depuis plusieurs années, et que je me proposais de rabattre.
Finalement il n'en a rien été et la plante en a profité pour prendre
des proportions en hauteur, ce qui n'est pas surprenant.
En revanche, j'ai été étonné de voir apparaître sur certaines
feuilles, et pour la première fois, de minuscules fleurs blanches.
Je n'imaginais même pas que cette plante pouvait fleurir, même modestement.
Je viens de faire l'acquisition, de deux variétés différentes
de cette plante qui sort de l'ordinaire. Il s'agit d'une Gaultheria ou Pernnettya
que je vais transplanter dans des pots plus grands pour essayer
de la conserver dans un premier temps, et si possible de la faire prospérer.
Comme je me lance dans l'inconnu, j'ai évidemment sollicité Internet
qui m'a permis d'apprendre que cette plante n'est pas autofertile
et qu'il faut donc avoir au moins un mâle et une femelle si l'on veut
obtenir des fruits qui, bien que toxiques (attention aux enfants),
en constituent le principal intérêt puisqu'ils sont censés tenir tout l'hiver,
à l'extérieur bien entendu, et même s'il fait très froid.
Seulement voilà : comment reconnaître un mâle d'une femelle ?
Je n'ai trouvé aucune indication à ce sujet.
J'ai même essayé de regarder sous la queue, mais je n'ai rien trouvé ???!!!
A l'occasion je poserai la question au pépiniériste, mais je suis
prêt à parier qu'il n'en sait rien lui-même.
Si vous avez une idée, n'hésitez pas à me le faire savoir.
Merci d'avance.
En Lot-et-Garonne, on dénombre 42 bastides. Nées en moins
de cent ans (1246 à 1327), elles sont réparties sur tout le département.
Caudecoste qui se situe à une quinzaine de kilomètres
au Sud-Est d'Agen, est l'une d'elles.
Ce style-là est beaucoup plus moderne.
Certaines façades auraient un besoin urgent d'être restaurées.
Ce chef-d'oeuvre en péril est à vendre ; avis aux amateurs !
Un ferronnier du cru a fait parler son talent et sa fantaisie.
Eglise Ste Marie-Madeleine, fermée aux visiteurs
comme beaucoup d'autres désormais.
Ne pas se fier à son air angélique ni à son calme apparent.
Quand elle se déchaîne, elle met en péril l'ordre établi,
au grand dam de la maîtresse de maison qui l'a bien cherché.
En tant qu'observateur neutre, je compte les points
tout en participant un peu,
et je m'amuse comme un petit fou,
Mais comme toutes les tornades, Gladys perd du tonus avec le temps.
A un peu plus de cinq mois, elle est déjà moins spectaculaire,
à mon grand regret.
Ces petites bêtes ne devraient pas grandir, et garder toute leur fantaisie.
... en langage des fleurs, pour la bougainvillée.
Voilà des mois que les cartes météo de différentes chaînes TV
nous montrent sous la pluie une bonne partie du temps.
Autant dire que nous devrions en avoir plus que notre compte.
En réalité, pendant toute cette période, nous n'avons eu droit
qu'à des averses sporadiques dans le genre "pipi de moineau"
ne donnant presque à chaque fois que 2 à 5 mm d'eau,
autant dire rien du tout surtout sur une terre extra-sèche.
Il paraît que la météo est un service qui nous coûte très cher ;
raison de plus pour que les cartes soient plus précises et
détaillées, et que les chaînes évitent de copier les unes
sur les autres pour nous proposer enfin
quelque chose de plus fiable.