Cette église du XIIème siècle se situe à l'extérieur de l'agglomération.
Un grenadier en pleine forme.
Cette église du XIIème siècle se situe à l'extérieur de l'agglomération.
Un grenadier en pleine forme.
Elle est chez nous depuis deux semaines. Un peu désorientée
le premier jour, elle a vite pris la mesure de son nouvel environnement
et de ceux qu'elle s'efforce de "manipuler" à sa façon. On peut admettre
qu'elle ne réussit pas trop mal, même si elle se fait souvent
rappeler à l'ordre, ce qui n'entame en rien son moral.
Il ne faut pas se fier à ses airs angéliques.
Elle n'arrête pas de gigoter pendant des heures ...
... met son nez partout et bien sûr, ne pense qu'à jouer.
Tout est bon pour risquer de faire une bêtise.
Même la souris n'a qu'à bien se tenir.
Mais le feu follet s'éteint n'importe où ...
... aussi vite qu'il s'est allumé. Ouf !!
Ce contenant a retenu mon attention lors d'une de mes
fréquentes visites à Jardiland. Je l'ai trouvé d'autant plus
à ma convenance que je n'ai ni la place ni l'envie d'installer
un bassin. En plus, j'ai trouvé là le moyen d'utiliser un petit
jet d'eau "solaire" que j'ai depuis des années, et qui n'avait
encore jamais servi.
Trois petits poissons rouges et deux plantes aquatiques
de surface, complètent l'équipement.
Pour la petite histoire, la pompe à main fonctionne,
et peut même être équipée d'un système électrique (fourni),
mais je crois que ce ne sera pas nécessaire.
Il y a quelques semaines, l'émission que L. Boyer présente à la mi-journée
avait lieu à Agen, place de l'Hôtel de Ville.
A cette occasion, plusieurs pépiniéristes assuraient le décor avec quelques
échantillons de leur production. Parmi ceux-ci figurait ce Thunbergia
dont j'ai fait l'acquisition quelques jours plus tard. C'est à cette occasion
que j'ai appris par le vendeur que cette grimpante (qui n'était pas encore
aussi développée), était passée à la télé ; il a même insisté, comme si cela avait
une quelconque importance pour moi, alors que même le prix était raisonnable.
Peut-être a-t-il pensé que son argument avait été décisif pour réaliser cette vente,
mais j'avais fait mon choix avant d'en avoir connaissance.
Peut-être le propriétaire de cette belle maison
est-il un ancien amiral retiré à l'intérieur des terres ?
Il y a quelques semaines, au hasard d'une promenade du dimanche,
nous sommes tombés sur une foire aux fleurs, à Nérac.
Il faisait chaud, et au milieu de l'après-midi, la plupart des plants
commençaient à faire grise mine.
A priori, je n'avais aucune intention d'achat, mais mon attention a été
attirée par un petit bananier rouge, variété que je ne connaissais pas.
Comme le plant avait bonne mine, nous sommes repartis avec.
Je l'ai rempoté aussitôt, et depuis il grandit presque à vue d'oeil
malgré la taille du pot que j'ai voulue limitée en espérant que la
végétation le sera aussi ; je commence à en douter.
Après la mort de Rouky, ma fille a commencé à faire des allusions auxquelles j’ai préféré ne pas porter attention. Et puis, à diverses reprises, elle a tenu à me montrer sur certains blogs, de beaux chatons comme elle les aime. Vous imaginez bien que je la voyais venir ; comme cela était prévisible, elle a fini par me dire qu’elle aimerait faire l’acquisition d’une de ces petites boules de poils.
Etant donné que nous avons déjà deux chattes, je me suis opposé à cette démarche. Mais, vous le savez et pour cause, les femmes sont tenaces. Après avoir jeté son dévolu sur une de ces bestioles, elle a proposé, un dimanche, que nous allions nous balader à Marmande, seulement pour voir à peu près (tu parles) où se trouvait le fournisseur, en précisant que de toute façon elle ne connaissait pas l’adresse exacte, ce qui était vrai. Comme par hasard, elle disposait malgré tout du numéro de téléphone - et cerise sur le gâteau - elle avait même dans son sac le portable qui d’ordinaire ne l’intéresse pas plus que moi, et que généralement nous oublions à la maison.
Autant de coïncidences à la fois ne pouvaient que nous amener à faire la connaissance des chatons dont la petite chatte blanche que voici, et qui sera chez nous début Juillet, lorsqu’elle sera définitivement sevrée.
Moralité : même si je me suis laissé amadouer sans être dupe, force est de reconnaître, et ce n’est qu’une confirmation, que les femmes ont tout de même de drôles de méthodes.
Il s'agit d'une très belle allée de "trois mille pas", créée par la reine Margot
dans le cadre du Parc Royal de la Garenne à Nérac, voulu par le père d'Henri IV.
Cette agréable promenade ombragée grâce à de nombreux arbres séculaires
(chênes, acacias, peupliers), est très prisée des locaux comme des visiteurs
dès qu'arrivent les beaux jours. Elle longe la rivière Baïse sur toute sa longueur.
Depuis 2009, une passerelle permet d'accéder à l'autre rive.
Le circuit logique consiste à partir par la Garenne (à gauche),
pour revenir par le sentier de la rive opposée.
L'artiste a voulu donner à Fleurette, morte d'amour pour le prince Henri de Navarre,
une plastique peu ordinaire pour une jeune fille de seize ans.
Tout le long de l'allée ombragée, plusieurs fontaines ...
... apportent une note supplémentaire de fraîcheur.
En pleine saison touristique, on trouve ici la possibilité de se nourrir de façon frugale.
Juste en face, cet élégant bâtiment abrite des tables
qui permettent de se faire servir un "en-cas".
On y a même vu un écureuil bleu de passage.
La passerelle de création récente qui permet de rejoindre l'autre rive ...
... bordée par des jardins privés.
Sur les eaux de la Baïse, les colverts sont dans leur élément.
En cette saison, on n'y voit que des mâles, les canes étant occupées à couver.
Au bout du sentier, on retrouve les vieux quartiers de Nérac.
La boucle est bouclée.
ENTRE NOUS
Au travers de chaque blog transparaît une partie de la personnalité de celui ou celle qui en a la responsabilité. De ce fait, comme dans la vie courante, et pour des raisons pas toujours faciles à cerner, il se crée des affinités. Pour autant qu’elles soient virtuelles, elles n’en sont pas moins réelles, et dans les commentaires même quand ils sont nombreux, on retrouve le plus souvent toujours les mêmes signatures.
Ceci étant, il y a les « blogueuses et blogueurs de fond » qui multipient les contacts jusqu'à saturation, et celles et ceux moins assidus (dont je fais partie) qui, pour diverses raisons, se manifestent de façon plus ou moins régulière.
J’ai déjà eu l’occasion de dire l’intérêt que je trouve à créer quelques échanges sympathiques dépassant le cadre des blogs et de leurs commentaires qui n’ont pas toujours beaucoup d’intérêt, ceux-ci servant trop souvent à se « pommader » mutuellement. Je veux bien reconnaître qu’il est agréable de recevoir de temps en temps un petit compliment, mais de là à limiter systématiquement les commentaires à des échanges de flatteries qui ne sont pas forcément d’une grande franchise, il y a de la marge.
A titre personnel, je visite pratiquement tous les jours un certain nombre de blogs, souvent les mêmes pour la bonne raison que je ne peux pas me multiplier, et quand j’ai le temps et que je me sens inspiré par ce que je vois, je laisse un commentaire auquel j’essaie de donner une signification. Je m’efforce en tout cas d’éviter de répéter toujours la même chose, même si parfois je pourrais être tenté de le faire comme par exemple, dans le cas de blogs qui publient régulièrement des photos de qualité ; je ne vais pas à chaque fois, dire combien je les apprécie, et je me contente de le faire de temps à autre alors que mes visites sont quotidiennes ou presque.
Bien que je n’aie qu’une expérience limitée en matière de blog, je remarque malgré tout que certains auteurs ont « mis de l’eau dans leur vin » en publiant de façon plus sereine et en s’octroyant des plages de repos ce qui, à mon sens n’est pas plus mal et n’enlève rien à la qualité de ce qu’ils proposent. En outre, le but premier d’un blog tel que la plupart d’entre nous le conçoive, est sans doute de se distraire et non de se créer des contraintes.
Pour terminer, je pourrais reprendre à mon compte un commentaire que vient de m’adresser Jean-Marc, qui tombe à pic et qui dit ceci :
Je me fais rare dans mes coms, faute de temps, mais cela ne m’empêche pas de rendre quelques visites incognito.
... vous aurez du mal à en faire autant.
Ce nid de petite taille, encore inachevé,
a été trouvé au pied d'un grand conifère.